Ronde (disponible)


J’ai toujours aimé les courbes des femmes rondes. Je pourrais passer des heures à les regarder, à les caresser. 

Illustration Craig's Arthole

D'ailleurs, quand je regarde une femme ronde, je l'imagine souvent,  allongée sur le ventre, le corps tout huilé reflétant les lueurs scintillantes des bougies et moi à ses côtés en train de lui masser délicatement le dos et les épaules. 

Illustration Alcantara

Et après … ce sera en fonction de ses envies, l’histoire ne le dit pas, désolé. Mais je ferais tout pour lui procurer un maximum de plaisirs …

Illustration Pete Harju


Mais bon revenons-en à mon fantasme ... voici donc une petite histoire, dont le personnage principal est une femme ronde et dont j’aimerais bien être le « héros » :

C'est un jour d'été, pas trop chaud, très agréable. Je suis invité à un petit barbecue chez mes amis Sophie et Nicolas. On se retrouve souvent pour diner ou pour des soirées. Ces moments sont toujours très festifs. On y mange bien, on y boit des fois un peu trop et on y discute beaucoup. Aujourd'hui, je suis le dernier à arriver. C'est Sophie qui m'accueil et m'indique que tout le monde est dehors. Je me dirige vers la baie vitrée du salon quant au même moment Nathalie rentre pour déposer sa veste sur le canapé. Elle porte une petite tenue légère qui met en valeurs ses formes. Nathalie est ronde et pulpeuse, elle est tellement jolie. Moins complexée qu'avant, elle ose maintenant mettre des robes, elle est encore plus attirante. Le décolleté de sa tenue d'aujourd'hui met en valeur ses seins, elle a vraiment une jolie poitrine. J'aime beaucoup ses fesses aussi, j'aimerais tant les toucher, les caresser, ou la voir nue, tout simplement. Mais je ne lui ai jamais dit. Après la traditionnelle bise, je la complimente : « Tu es vraiment très belle avec cette petite robe… Vraiment très, très belle. On va tous finir à tes pieds. ». Elle me regarde étrangement. C’est assez gênant. On est tout prêt l’un de l’autre. Est-ce que j’ai dit une bêtise ? Elle me sourit, me dit « Ah oui ? » et fait un demi-tour sur elle-même. Ses fesses me frôlent. Puis elle part toute pétillante sur la terrasse. Je la suis et commence à faire le tour pour dire bonjour à tout le monde.

Illustration EdDrawsstuff

Rapidement je m’aperçois que Carlos, le copain de Nathalie n'est pas là. Ce n’est pas plus mal, j'ai un peu de mal avec ce macho qui se vente de faire l'amour trois fois plus longtemps que la moyenne nationale. Pauvre Nathalie, elle n'a jamais osé lui dire qu'elle était clitoridienne, et que même si ça dure quinze minutes, c'est rarement l'explosion de plaisir pour elle. Et oui, on parle souvent de nos fantasmes avec Nathalie, et quelques fois elle a besoin de vider son sac au sujet de sa relation de couple. C'est assez drôle, nous sommes plutôt compatibles questions fantasmes. Elle, qui est si douce, aimerait tant qu'un homme réponde au moindre de ses désirs, qu'il passe des heures à la caresser, à lui lécher le sexe, l'anus et surtout le clitoris, guidé par ses instructions. Et ensuite, elle se blottirait, épuisée de plaisir, dans les bras de son bienfaiteur.

Quant à moi, je lui parle souvent de ma fascination pour le sexe féminin, de mon envie de pouvoir lécher une belle inconnue, ronde bien sûr dans toutes les positions qu'on puisse trouver : debout, assise, couchée, à quatre pattes, en facesitting.

Illustrations Cata Gellen

Elle sait aussi que les femmes rondes m'attirent particulièrement. Mais bon entre nous, c'est devenu un jeu. On se raconte nos fantasmes et on s’amuse souvent à élaborer des histoires farfelues dans lesquelles nos fantasmes s’entremêlent et on ressort de là souvent très excités.
 
Aujourd'hui, je n'arrive pas à décoller mon regard de Nathalie. Elle semble heureuse, comme soulagée, débarrassée d'un fardeau trop longtemps porté. Ça m'intrigue, est-ce qu'elle aurait finalement largué ce gros con de Carlos. Je la questionne : "Qu'est ce qui t’arrive ? Je te trouve radieuse aujourd'hui." Elle me sourit et mordille sa lèvre inférieure tout en restant silencieuse. « Aujourd’hui c’est un jour particulier… particulier pour moi ». Mais elle reste mystérieuse. J'essaie d'en savoir plus : "C'est Carlos ?". Elle me répond :" Non, non. Rien à voir… Mais on peut en parler plus tard.". J'insiste mais pas de réponse.
 
Plus tard dans l'après-midi, je me suis installé tranquillement dans le canapé avec mon café. Nathalie vient de dire au revoir à tout le monde et s'approche de moi pour récupérer sa veste. Elle se penche vers moi, déposant devant mes yeux ce si beau décolleté. Je n'arrive pas à détourner le regard. Elle le remarque. Elle s'approche un peu plus et me glisse à l'oreille d'un ton posé et calme : "Tu vas te lever. Tu vas dire au revoir et tu me rejoints dans la voiture. Et pas de question. Dépêche-toi.". Très surpris, je fais machinalement tout ce qu'elle m'a demandé. Arrivé dans la voiture, je me renseigne : « Et on va où ? « . Elle me met le doigt sur la bouche et me répète "Chuuut ! ... Pas de question." Pendant tout le trajet, elle est hyper sérieuse, je m’interroge. Est-ce que j’ai fait quelque chose qu’il ne fallait pas ? Finalement, on arrive chez elle. On descend de la voiture. Elle ouvre la porte et dépose sa veste sur le portemanteau. Elle se retourne vers moi et m’ordonne : "déshabille-toi !". Surpris, je ne réagis pas. Elle répète d’un ton plus sec "Déshabille-toi maintenant !". Tout d’un coup, tout devient limpide : elle veut réaliser son fantasme avec moi, là tout de suite, maintenant. C’est moi qu’elle a choisi. L’excitation monte en moi. Mon sexe se durcit dans le pantalon. Et là je réalise, ce n’est plus nos discussions fantasques, c’est du réel. Je vais devoir me soumettre à toutes ses volontés. Que va-t-elle exiger ? Toutes nos discussions défilent dans ma tête. Ses envies défilent, celle-là oui, oui celle-là je devrais y arriver, … celle-là oui … j’aimerais juste pouvoir la voir et la caresser, il ne faudrait pas qu’elle m’attache ou me bande les yeux.  Est-ce que je vais être à la hauteur ? 


Illustration Sardax

Tout d’un coup ça me revient … le petit truc à trois, comme elle disait. Elle avait imaginé une histoire avec deux hommes dont un soumis. Elle l’obligeait à sucer l’autre, à les lécher et sucer pendant la pénétration puis à la nettoyer après. Oh non ! Pas avec Carlos ! Non s’il te plaît Nathalie, pas lui



Illustration Sardax

Sans dire un mot, je lui fais un sourire un peu crispé, et commence à enlever mon T-shirt. Elle sait que j’ai compris. Elle sait que je connais ses fantasmes. Jamais je n'aurais pensé que la timide Nathalie serait capable d'aller jusqu'au bout. J’enlève ensuite le bas. Je me retrouve nu, devant elle, en érection. Elle s’approche de moi, et prend mes testicules dans sa main. Elle approche son visage du mien. Me regarde droit dans les yeux. En serrant de plus en plus fort, elle l’ordonne : « Tu vas obéir… Tu vas me caresser…  Me lécher… me faire jouir … sans poser de questions… Et ne compte pas rentrer chez toi avant demain soir... » Je la regarde droit dans les yeux et je fais un hochement de tête. Son visage s’illumine. Elle prend ma main droite et relâche mes bourses endolories. « Tu n’as compris met toi à genoux ».



Je pose un genou à terre, puis le second. Elle glisse ma main entre ses jambes. Je sent que sa culotte est toute mouillée. Elle est encore plus excitée que moi. Un large sourire presque sadique apparait sur sa bouche. « Caresse moi ! Maintenant ». Ma main fait des vas et vient sur sa culotte. Mes doigts sont tout mouillés, même à travers le tissu. Ses cuisses commencent à être glissante aussi. Elle me laisse faire. Elle semble apprécier le moment présent, elle fait de légers mouvements de hanches. « Tu sens à quel point je suis excitée. Retire ta main, nettoie-la, je te regarde ». Hmmm c’est délicieux, mais il ne faut pas que je lui montre que j’aime ça. Elle caresse délicatement ma joue « allez, c’est bien… suit moi ! » et elle se dirige vers le salon. Arrivée devant le canapé, elle me demande de m’allonger par terre sur le tapis. Elle m’enjambe, tout en continuant à me regarder et se place au-dessus de moi un pied de chaque côté. Je devine, sous sa robe, sa culotte. Elle continue à me regarder, je suis à sa merci.

Illustration Frida Castelli

Son regard est très insistant, elle veut certainement que je baisse les yeux ou même que je les ferme. A contrecœur, je me soumets. Je la sens s'accroupir petit à petit, c’était ça. Ses cuisses effleurent mon visage et bientôt sa culotte se pose sur ma bouche. Elle commence à donner de petits coups de bassins. Je rouvre les yeux mais je ne vois rien. Je me remémore nos discussions coquines. Le facesitting ne faisait pourtant pas partie initialement de ses fantasmes. Est-ce qu'à force de lui en parler, je lui ai donné l’envie ? Quoi qu’il en soit, il n’y a pas mieux pour affirmer sa domination et moi, je n’échangerais ma place pour rien au monde. Je place alors mes mains aux creux de ses reins et j’attends ses instructions. Elle les guide pour que je lui fasse des caresses dans le bas du dos et sur les fesses. Je ne peux m’en pêcher de lécher sa culotte toute mouillée de son excitation. À quel moment va-t-elle décider qu’il est temps que je plonge ma langue dans son sexe ? Va-t-elle enlevé sa culotte ? La garder et la déplacer sur le côté ? Pour le moment elle continue. J’aimerais tellement savoir ce qu’elle pense. 
 
Tout doucement elle se relève. Je referme les yeux immédiatement. Je n’ai pas arrêté de la caresser, mes mains s’attardent maintenant sur ses mollets et l’arrière de ses genoux. Elles s’aventurent aussi un peu plus haut. Je la sens bouge. Elle retire certainement sa culotte. Elle me demande : « ouvre les yeux ! ». Je lui obéi. Je la découvre debout au-dessus de moi sa culotte à la main. Elle la laisse tomber à côté de ma tête puis relève tout doucement sa robe : « et voilà, c’est pour elle que tu es ici. Tu as intérêt à bien t’en occuper. Depuis ce midi je n’attends que ça. ». Lentement elle commence à s’accroupir.  Impatient, je relève la tête pour aller à sa rencontre. Mais elle bloque mon mouvement avec sa main : « c’est moi qui décide ! Pas bouger ! ». Je me rallonge et attends patiemment. Elle s'assoit sur mon torse. Son sexe est inaccessible, mais je ne le quitte pas des yeux. Elle sait faire monter l’excitation. J’ai une envie folle de la lécher. Mais je n’ai pas le droit. Elle se décide enfin et vient déposer sa vulve contre ma bouche. Elle positionne les endroits à lécher juste devant ma langue. Pour le moment, ça oscille entre le clitoris et l’entrée du vagin. Quelque fois, elle s’arrête pour que ma langue puisse la pénétrer le plus profondément possible. Je la sens encore hésitante pour aller plus bas. Pourtant elle sait très bien que ça ne me dérange pas et je sais qu’elle en a énormément envie. Je ne dois pas prendre d’initiatives, de toute façon on a tout notre temps. Il faut juste éviter les crampes, je me reconcentre sur ma mission. Malgré les oreilles bouchées par ses cuisses je l’entends gémir de plaisir.

Illustration Pete Harju

Après un long moment dans cette position, elle vient de se réinstaller sur mon torse. Elle me caresse la joue avec sa main : « c’est pas mal tout ça … à ton tour de bosser, maintenant ! ». Comme si je n’avais rien fait ! Elle enlève sa robe positionne quelques coussins sur le canapé, et s’assoit les fesses sur le bord, les jambes écartées. Toujours allongé sur le tapis j’attends sa prochaine requête. Ça ne tarde pas : « allez ! Viens me lécher ! ». Je commence par remonter le long de ses cuisses avec plein de petits bisous. Et arrivé à destination je lui offre un grand coup de langue qui remonte lentement du bas de son sexe jusqu’au clitoris. Puis je fais quelques mouvements de va-et-vient autour de ce dernier. Avec sa main, elle m’oblige à lécher plus bas puis encore plus bas. C’est bien de son anus qu’elle veut que je m’occupe. Elle relève ses jambes et place ses pieds sur mes épaules. Elle voit que j’ai compris et me laisse faire. Il me semble que c’est la première fois pour elle. Elle a l’air d’apprécier. De temps en temps, mon nez vient s’égarer dans son sexe pendant que ma langue détend son petit trou. Je la caresse en même temps…  En tout cas, elle en redemande encore et encore. Finalement elle repousse avec délicatesse ma tête, se retourne, pose ses deux genoux sur le bord du canapé et s’allonge sur le dossier pour que je puisse mieux accéder à son anus. 


Illustration Slartzee

Pas d’ambiguïté, j’alterne les coups de langue bien à plat pour lécher la surface et les incursions de langue tendue pour farfouiller plus profond. Je profite d’avoir les mains libres pour lui caresser les fesses et les cuisses. Je tente quelques passages furtifs sur son sexe. Elle recommence à donner des coups de hanches.  « Tu ne vois pas que j’ai envie que tu me mettes un doigt !!! ». Je place mon pouce devant et avec des petits va et vient, je l’enfonce progressivement. Il pénètre très facilement, il n’y a aucun problème de lubrification. Mes autres doigts viennent innocemment caresser son clito. Au bout d’un moment l’excitation semble la submerger. Les mouvements de reins sont de plus en plus importants. Sa respiration s’accélère et quelques petits gémissements involontaires se font entendre. Elle se retourne, s’assoie de nouveau, attrape la main, la remet devant son vagin et place ma tête en face de son clitoris. « Vas-y fait moi jouir !!! ». Je plonge dans son intimité. J’essaie d’avoir un mouvement régulier, aussi bien avec mes doigts qu’avec ma langue, pour qu’elle puisse maîtriser la montée de son orgasme. Je change de temps en temps de mouvement.

Illustration Nudegrafia

Les mouvements de hanches se synchronisent avec mes doigts et ma langue. Tout à coup, une de ses mains écarte ma tête assez violemment et j’entends « stop ! ». Elle est essoufflée et tente de récupérer. Je l’admire, elle est là devant moi, toute nue, son sexe dégoulinant de plaisir au premier plan. J’attends, j’en ai plein le visage. Ça me paraît interminable. Elle soulève la tête me regarde « c’est bon ça ! … heureusement je t’ai arrêté à temps ! ». Elle prend une grande respiration. « Recommence ! … mais doucement. » C’est ce que je fais. Je pose ma langue délicatement juste au-dessus de son anus et remonte lentement jusqu’à son clitoris. Je renouvelle l’opération plusieurs fois en prenant soin d’espacées de quelques secondes les coups de langue. J’en profite pour caresser ses cuisses et ses fesses.  « Oh oui … Oui… Oh oui… C’est ça ! ». Elle me caresse les cheveux avec ses mains. Elle accompagne mes mouvements. « Allonge toi … s’il te plaît ». Je m'allonge sur le tapis. Cette dernière phrase résonne dans ma tête « s’il te plaît ». C’est la première fois, depuis qu’on est chez elle qu’elle me demande sans m’ordonner. Qu’est-ce qu’elle va faire ? Elle pose son pied sur mon sexe tout mouillé par mon excitation « Mon pauvre ! » dit-elle. Elle l’essuie un peu avec son pied. « Oh regarde ce que tu as fait … il va falloir le nettoyer maintenant. » ça, ça ne faisait pas parti de ses fantasmes, ni des miens d’ailleurs. Je ne m’y attendais pas du tout. Elle a laissé échapper un s’il te plaît il fallait bien réaffirmer sa domination. Une fois ma corvée achevée, elle se remet debout au-dessus de moi, mais dans l’autre sens. J’ai un superbe point de vue sur ses jolies fesses rondes. Puis elle se met à cheval sur mon visage. 


Illustration Crismaru

Je ne peux pratiquement pas bouger. La seule chose que je peux faire, c’est lécher la partie du corps qu’elle me présente. Elle varie les plaisirs clitoris, sexe, anus sans trop m'écraser. Je n'ai aucun problème pour reprendre ma respiration. De temps en temps elle lève ses fesses, l’excitation est certainement trop grande. Je m’arrête un instant, reprends mon souffle. En tout cas son sexe n’arrête pas de couler. Puis elle s’offre de nouveau à ma moi, je recommence. Encore… Et encore… Et encore. Les moments de relâche sont de plus en plus fréquents. Soudain, elle colle son clitoris sur ma bouche et fait de tout petits coups de bassin. J’essaie de trouver avec ma langue le capuchon du clito mais impossible. Je décide donc de faire des mouvements réguliers, c’est elle qui se positionnera bien comme il faut. C’est exactement ce qu’elle fait. Et rapidement elle s’arrête toute crispée. Moi je continue mes coups de langues. Je l’entends crier de plaisir. Elle s’allonge sur moi et relève un peu les fesses. J’arrive à dégager mes mains pour lui caresser le dos, les hanches et un peu ses seins. Je n’ai aucune idée de leur Kiley. Il fait encore jour. Je continue à la caresser et à regarder son sexe qui est à quelques centimètres de mon visage. Elle ne bouge plus. J’adore ce long moment très câlin.
 
Elle commence à bouger, se met à quatre pattes et se relève doucement. Je reste à terre à la regarder. Elle s’assoie sur le canapé, attrape la couverture polaire toute douce qui est à côté d’elle et la mer sur elle. « J’ai une bouteille de champagne au frais … » me dit elle « au passage tu m’attraperas une coupe dans le placard ».  Je me lève, le sexe toujours en érection et me dirige dans la cuisine. Elle me suit des yeux. Je la vois du coin de l’œil, elle sourit, elle a l’air satisfaite de cette première étape. 

J’ai récupéré le champagne et la coupe. Je me suis mis à genoux devant la table basse, j’ouvre la bouteille, lui donne la coupe et la sert. Elle boit une petite gorgée et me regarde. « Merci ». Elle écarte un peu les jambes sous la couverture et ajoute « allez viens me nettoyer tout ça ! ». Je glisse ma tête sous la couverture. « Et ne m’excite pas ! ». Je ne sais pas trop quoi faire. Elle est encore bien humide. Je commence à lécher l’intérieur de ses cuisses et en essayant de récupérer toute la cyprine qui s’y trouvent. Elle pose les pieds sur mes épaules et ouvre plus grand son entre jambe. Je m’attaque maintenant assez grosses lèvres. J’adopte toujours la même tactique, j’avale toute la salive que j’ai dans ma bouche, et je récupère tout ce que je peux sur son corps avec ma langue. Puis j’avale ce que j’ai récupéré. Elle enlève les pieds de sur mes épaules. Et j’entends sa voix au-dessus de la couverture « je veux bien une deuxième coupe de champagne. ». Je sors de ma tête attrape la bouteille puis la sert. Je repose la bouteille et sans attendre je repasse sous la couverture. Elle remet les jambes sur mes épaules et viens me caresser la tête par-dessus la couverture, à travers la couverture.



En bonus, je vous propose quelques illustrations de femmes toute en rondeur
Art by Cynthia Veneno



Illustration Torture Lord



Illustration Katerina Sarakinou


Illustration Tsurufoto


Illustration FIRez


Illustration Slartzee


Illustration Katerina Sarakinou


Illustration Benjamin A Riley


Illustration Alcántara


Illustration Joe Draws


Illustration Memo Molinar


Illustration Nudegrafia




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