Gigolo Acte II

Offrir du plaisir à une inconnue m’a toujours fait fantasmer. Tout faire pour qu’elle jouisse, sans forcément attendre quelque chose en retour. Mais jamais il ne m’était venu à l’esprit de faire ça pour de l’argent. C’était sans compter sur Sophie… Elle m’a organisé une journée bien chargée et surtout pleine de surprises. La matinée a débuté par un moment très sensuel avec une parfaite inconnue . C’est seulement en la quittant que je réalise que je venais de coucher avec ma première cliente. Et oui cliente, elle a payé pour m’avoir, je ne réalise pas trop encore, tout le côté « argent » est géré par Sophie. 

Après avoir refermé la porte de la chambre, je n’arrive pas me sortir cette idée de la tête, je suis le gigolo de Sophie aujourd’hui. Mais cette séance c’est-à-dire tellement bien passé que je rejoins Sophie, assez confiant pour la suite, dans l’autre chambre. Elle m’accueil avec un petit regard malicieux : « alors mon petit gigolo, tu as assuré ? Est-ce qu’elle en a eu pour son argent ? Tu es prêt pour notre second rendez-vous ? ». « Elle avait l’air satisfaite » lui dis-je en lui attrapant la main et la mettant contre mon sexe, encore tout excité « Oui je suis prêt ! » puis elle ajoute : « tu dois avoir un peu faim, non ? Je t’ai préparé un petit café et deux trois trucs à grignoter. ». C’est une très bonne idée, on s’assoit sur les fauteuils et je prends le temps de me restaurer un peu.

 

Acte II Scène 1
Humiliation 


Elle reprend sa feuille : « là tu vas être contant, Géraldine adore les cunnis. ». Je souris et ne peux m’empêcher de lui avouer que j’ai finalement eu le plaisir de passer un petit moment la tête entre les cuisses de la charmante inconnue. Elle a l’air surprise : « Tu me raconteras tout ça plus tard. Revenons-en à Géraldine, elle a 45 ans, elle n’est pas très grande, un peu ronde, mais surtout un peu dominatrice. C’est donc elle qui va mener la danse. Il faudra que tu lui obéisses. On retrouve, dans ses pratiques préférées, le cunnilingus, l’anulingus, le facesitting, elle aime aussi les massages, les caresses, être embrassée et léchée partout. Pour les positions, tu n’auras pas le choix alors écoute bien ce qu’elle veut et fait lui plaisir. Elle paye assez pour ne pas avoir de questions, ni même d’hésitations de ta part. Soit un bon soumis, il faut qu’elle en aie pour son argent. »

Elle commence alors à me déshabiller, en profite pour le caresser un peu le sexe. Elle ajoute: « Elle te veut nu, attaché sur le lit, sexe en érection et les yeux fermés… oui les yeux fermés pendant toute la séance sauf si elle te demande le contraire. ». Puis elle me demande de m’allonger sur le lit, commence à m’attacher les mains à la tête de lit, puis ensuite les chevilles aux pieds du lit. « On devrait faire ça ensemble, j’aime bien l’idée que tu sois mon petit esclave sexuel. » dit-elle en faisant monter doucement l’excitation dans mon sexe avec ses mains et quelques bisous bien placés. Son téléphone vibre, elle lit le massage et me regarde : « allez c’est reparti, juste une dernière recommandation, nous avons établi avec Géraldine un safe code, « Sophie à l’aide », que tu pourras utiliser si vraiment elle va trop loin. La séance durera une heure trente. Je pense vraiment que tu ne vas pas passer un moment très agréable. Mais tu n’as pas le choix, fais du mieux que tu peux, c’est important. ». Elle met mon sexe dans sa bouche pour faire monter l’excitation au maximum. J’entends la sonnette puis la porte qui s’ouvre. Sophie lui crie : « c’est à l’étage. » et me regarde, je ferme alors les yeux, ça va commencer. J’entends ses pas dans l’escalier. Sophie se lève et va l’accueillir à la porte. Elle lui fait faire le tour du propriétaire, « là, tu as du café, de l’eau, de quoi grignoter… ». Elles passent devant moi sans rien dire « Ici, c’est la salle de bain ». Je les sens se rapprocher « Et voici ton jouet. » en agrippant mon sexe elle ajoute « tu peux dire bonjour ! ». « Bonjour, très heureux de pouvoir vous servir ». L’inconnue répond : « Bonjour » et complimente Sophie pour tout ce qu’elle a préparé. Sophie conclue par un « Allez, amuse-toi bien. » et sorte de la chambre. J’entends alors des bruits de fermeture éclair, des bruits de vêtements, puis des bruits de talons qui se rapprochent. Je ressens tout à coup une forte douleur dans les testicules et le sexe, elle vient de m’affliger une bonne claque : « tu es ici pour mon plaisir, si tu fais tout ce que je veux, tout se passera bien. Est-ce que tu as bien compris ? ». Je réponds rapidement : « oui, bien compris. ». En enlevant sa main de mon sexe elle continue : « je vois qu’on est sur la même longueur d’onde ! ». Elle vient s’assoir sur ma poitrine, elle semble me regarder. Elle décide alors de remonter un peu et de mettre son sexe devant ma bouche. Elle est en jupe ou en robe, je la sens sur le dessus de ma tête, elle porte aussi des bas je pense. « Tu peux ouvrir les yeux maintenant. ». Je devine très vite qu’elle n’a pas de culotte, elle semble être toute lisse, pas de poil à l’horizon. Elle s’approche jusqu’à toucher mon nez. Je n’ose prendre aucune initiative. J’entends : « vas-y, tu peux lécher ! ».

Illustration Valéria Von Der Ko

J’obéis sur le champ. Je ne peux rien faire d’autres que lécher les parties de son corps qu’elle me propose : l’anus, le vagin, le clitoris. Elle stimule ses parties érogènes avec mon nez et avec ma langue. Quand elle me laisse lui lécher l’anus, elle joue avec mon nez dans son vagin. Et quand elle demande à ce que ma langue aille profondément dans son sexe, il sert de stimulation à son clitoris. Je commence à bien apprécier la situation. Elle me dit : « on va voir ce que tu vaux… » elle positionne son l’anus devant la bouche, je m’empresse de lécher. Au fur et à mesure je le sens se décontracter. J’ai compris ce qu’elle attendait de moi. Et de temps entends je durcis ma langue et tente une pénétration. Elle sert alors ses fesses contre ma bouche. Puis je reprends les messages externes. Arrive le moment où elle est tellement détendue que je peux mettre ma langue entièrement en elle. Elle fait alors des va-et-vient comme si la langue était sexe-toy. Je ne sais pas combien de temps je vais arriver à tenir comme ça. Je commence à voir quelques douleurs dans la langue mais il faut tenir. Heureusement, avant que la douleur ne soit insupportable, elle s’arrête et j’entends : « allez, nettoie-moi tout ça. ». Je recommence des mouvements de langue à l’extérieur ce qui me permet de récupérer un peu. Elle soulève un peu ses fesses et me dit « je vais un peu me reposer, maintenant, pour toi la récréation est terminée : ferme les yeux. ». Elle détache mes mains de la tête de lit et les attachent ensemble. 
 


Illustration xxxxx


Puis elle se lève, je l’entends boire un petit peu, et elle revient s'allonger à côté de moi. « Aller, viens me lécher … et vite ! ». Malgré les yeux fermés, je trouve très facilement son entre jambe. Je commence à la lécher, et je sens immédiatement sa main dans mes cheveux. Elle en profite pour serrer ma tête contre son sexe et guider tous mes mouvements. Je réalise que je n’ai vu et toucher que son sexe. Je ne suis, en fait, qu’un objet sexuel pour elle. Un jouet dont elle dispose à volonté. Un jouet qu’elle télécommande au grès de ses envies, me faisant passer du clitoris au vagin, puis revenir au clitoris et ainsi de suite. Elle gère la monté de son orgasme, en déplaçant ma tête dès que plaisir est trop instance. Je n’ai aucune notion du temps, j’ai l’impression que ça fait une demi-heure que je suis en train de la lécher. Est-ce que je vais pouvoir tenir une heure et demi comme ça ? Elle relève les jambes et vient placer ses genoux au niveau de sa tête, présentant ainsi son anus devant ma bouche. J’ai bien compris le message, je recommence à m’occuper de lui comme quand elle était sur moi. Elle ne me tient plus la tête. De temps en temps je viens stimuler son sexe avec mon nez. Elle est vraiment toute mouillée d’excitation. J’y mettrais bien ma langue aussi, mais sans signe de sa part, je ne préfère pas improviser. Les moments où ma langue s’enfonce en elle, je la sens respirer plus fort, de manière un peu plus saccadée. Je suis toujours très excité, c’est confirmé par tout ce lubrifiant naturel que mon sexe produit.

Illustration Smell of Sleep


Elle redescend un peu ses fesses, je pense qu’elle voudrait que ma langue s’occupe de nouveau de son sexe et son clitoris. C’est reparti, je réplique les mêmes mouvements que tout a l’heure quand elle me tenait la tête. Elle approuve : « Oui … c’est ça … tu as tout compris ! ». J’alterne clitoris et vagin. Je tente une incursion plus basse mais un petit mouvement de basin m’indique que ce n’est pas le bon moment. Je reviens très vite à mes deux autres copines de jeux. D’un côté ma langue cherche à s’introduire en profondeur et de taquiner tous les côtés de son vagin, d’un autre côté elle cherche à titiller son clitoris, sous son capuchon, sans pouvoir m’aider de mes mains. Elle est de plus en plus réceptive à mes attentions, elle respire de plus en plus fort, elle mouille énormément et quelques fois bouge un peu les fesses. Je suis en train de m’occuper de son clitoris quand je l’entends extérioriser son plaisir. 


Illustration Raffaele Marinetti

Son corps se raidit, son gémissement est retenu, mais révèle bien que son orgasme est là. Je continue à lécher, mais fait énormément attention à ses mouvements, il faut que je m’arrête au bon moment. Ses jambes se déplient et viennent se poser sur mes épaules : c’est le signal. Je reste donc là sans bouger à quelques centimètres de son sexe.  Je respire assez fort, essoufflé. Au bout d’une minute ou deux, elle me repousse avec ses pieds, se lève et me détache les chevilles. « Merci, c’était très bon ».


 

Illustration Frida Castelli

Elle semble se déplacer vers la salle de bain. Elle doit avoir pousser la porte mais j’entends qu’elle s’assoie sur les toilettes et commence à faire pipi. ´ « Viens me voir ? Et garde bien les yeux fermés ! » Je me lève, les mains toujours liées entre elles, je me dirige à tâtons vers la porte de la salle de bain. Je la pousse et entre. Elle me dit : « je n’ai pas très envie de m’essuyer avec du papier. Est-ce que tu pourrais faire quelque chose pour moi ? ». J’ai bien compris qu’elle voulait que je la nettoie avec ma bouche. C’est vraiment très humiliant quand même, mais je repense à la demande de Sophie « s’il te plaît, fais du mieux que tu peux, c’est important pour moi. ». Je fais un signe de la tête pour approuver sa proposition. Je m’approche, elle me dit « stop ». Je me mets à genoux, elle s’approche, pose un pied à côté de moi, certainement la baignoire, attrape ma tête et la guide au bon endroit. 
Illustration Culturesensible

Dès le premier coup de langue, je sens le goût de son urine dans ma bouche. Je me sens assez humilié par la situation. Mais je continue, un second coup de langue puis un troisième, Je la lèche partout. Le goût d’urine disparaît petit à petit, je pense que j’ai terminé mon travail, mais je continue à la nettoyer, jusqu’à ce qu’elle me dise d’arrêter. Elle semble apprécier la situation. Elle attrape les menottes, me tire vers le haut pour me relever. 
 
Elle me conduit ensuite dans la chambre. Elle m’enlève les menottes et place un flacon dans ma main, c’est l’huile de massage. Ma langue va pouvoir se reposer un peu. Elle s’allonge sur le lit « allez, Sophie m’a dit que tu savais bien te servir de tes mains aussi, prouve-moi qu’elle n’a pas menti. ». Elle s’allonge sur le lit. Je me mets à genoux à côté d’elle, j’enduis mes mains d’huile et les pose sur son dos. C’est la première fois que je la touche. Je commence par un massage du dos et des épaules avec quelques descentes sur le côté, des aisselles aux hanches, cela me permet de découvrir un peu ses seins. J’ai l’impression qu’elle est plutôt gâtée par la nature de ce côté-là. 

Illustration Frida Castelli


Mes lèvres suivent mes mains pour couvrir tout son corps de baiser. C’est un moment très sensuel contrastant avec le début de séance. L’excitation remonte, mais je garde à l’esprit que je dois me soumettre à toutes ses volontés. Mais, bon, je profite de l’instant. J’ai tellement envie de découvrir le reste de son corps. Je m’approche de ses pieds et recommence le massage en partant de sa cheville et en remontant jusqu’à ses fesses, une main de chaque côté de la jambe. Je redescends juste en caressant. J’alterne une jambe puis l’autre, en évitant de passer trop prêt de son sexe. Je dépose un baiser sur sa fesse et je passe ensuite au massage des pieds, j’attrape une de ses chevilles et la remonte contre mon corps. Je frotte pour enlever toute la poussière, reprends un peu d’huile et commence par la voûte plantaire. Puis j’enchaîne par les doigts de pieds. J’aime beaucoup masser les pieds. 

 

Avant de passer à l’autre, je ne sais pas pourquoi mais je viens y déposer un long baiser, comme pour dire au revoir. Instantanément, elle me dit : « oui … bien sûr… tu peux le lécher. ».  

Illustration Lee Furlong

Oh non, mais pourquoi j’ai fait ça. Je n’ai jamais fait ça. Je n’ai pas envie. Et la réalité de la situation s’impose à moi : là, je ne suis qu’un gigolo, elle a payé pour faire ce qu’elle veut de moi, je n’ai pas le choix, allez, il y a bien une première fois à tout, alors il faut que je lèche maintenant. Je viens poser mes lèvres sur deux de ses doigts de pied, et je glisse ma langue entre les deux, puis reviens l’humidifier dans ma bouche pour repartir entre deux autre. « Hmmmm, j’adore ça, très bonne initiative ! » me dit-elle. Sophie a pris une huile de massage comestible, ce n’est pas désagréable au niveau goût. Je lèche partout, dessous, entre les doigts, la voûte, je glisse aussi son gros orteil dans ma bouche et le suce. Je n’aime pas trop mais c’est loin d’être terminé, elle relève son deuxième pied. Je n’ai pas appliqué d’huile de massage sur celui-là. Il ne sent pas la même odeur, ça sent le cuir mais pas que. Je n’ai pas envie de continuer. « Allez, ne soit pas timide » me dit-elle. 

Illustration Jon Albar

Je prends mon courage à deux mains et donne un grand coup de langue sur tout le dessous des doigts de pieds. « Hmmmm » de nouveau. Je rentre ma langue elle est pleine de poussière, de petits morceaux non identifiables. Je fais une grimace, marque une pause mais recommence quand même. Le goût n’est pas trop fort, ça va ce qui me dérange le plus c’est ce qui reste coller à ma langue et que je suis obligé d’avaler. J’arrive finalement à faire pareil que pour l’autre, mais moins longtemps, un peu écœuré. 
 
Je reprends le massage des mollets des cuisses et des fesses mais cette fois-ci en essayant de l’exciter. La main qui est à l’intérieur de sa cuisse remonte jusqu’à son sexe, et le caresse en s’échappant. Elle est de plus en plus humide. Elle se met à quatre pattes et m’ordonne « occupe-toi de mon clito et de mon sexe, maintenant ! ». Elle repose sa tête sur le lit, cambre le dos. Placé derrière elle, ma main droite commence alors à s’occuper de son intimité et avec l’autre main je lui caresse les fesses, les reins et les cuisses. Elle mouille beaucoup et je m’en sers pour lubrifier tout son entre-jambe. J’introduis de temps en temps quelques doigts dans son vagin, et n’ayant pas de contre ordre, de plus en plus souvent.
Illustration Katiko

Je n’oublie pas de stimuler son clitoris, tantôt avec des mouvements assez lents et tendres, tantôt avec des frictions rapides et intenses. Je prends l’initiative de la lécher, des gémissement valide mon choix. Elle me laisse la caresser et la lécher ainsi pendant un long moment. Puis elle me demande de m’allonger sur le dos, m’attache de nouveau les mains. 
 
Elle me met un préservatif et vient s’installer délicatement déçu. Je la sens s’allonger sur moi et venir positionner sa bouche à côté de mon oreille. Elle chuchote alors : « Tu ne bouges pas, pas même le moindre petit rictus sur ton visage, tu es mon objet, un point c’est tout. » et elle ajoute « ne t’avise pas de jouir, je commencerai par te faire bouffer ton sperme et ensuite je m’occuperai longuement de tes testicules, compris ? ». Je fais un signe de la tête. Elle conclue par un « C’est bien ! ». Elle reste un peu immobile, se replace bien, positionne ses deux mains sur mon torse, et commence à bouger. La situation est assez agréable mais surtout très reposante pour moi. Elle sait comment se faire plaisir, elle semble gérer la montée de l’expiration, puis change de mouvement, puis recommence. Les pauses deviennent de plus en plus rapprochées, l’orgasme n’est pas loin. Elle me libère les mains mais je les laisse au-dessus de ma tête. Elle les attrape et les plaque contre sa poitrine. D’une main je lui caresse les seins et de l’autre le ventre, les hanches, les cuisses. Elle valide : « Oui ! … Oui ! … c’est ça… caresse moi… oui… c’est bon comme ça ! » et elle s’abandonne à son plaisir « hmmmm… hmmmm… hmmmm… » jusqu’à l’orgasme au cours duquel elle se fige de nouveau quelques secondes. Son corps ensuite se relâche. Elle se redresse, toujours assise sur mon sexe. Elle doit avoir la tête en arrière, je l’entends respirer, elle récupère.

Illustration Samarel

Elle se lève, me détache et va s’assoir sur le fauteuil. Je l’entends se servira à boire. J’attends tranquillement un ordre de sa part, qui ne tarda pas : « allez, viens me nettoyer tout ça ! ». Je me lève à mon tour et viens la rejoindre. Je me mets à genoux devant elle et commence à la nettoyer avec de long coup de langue comme quand on mange un esquimau. A chaque coup de langue j’ai le goût de son sexe dans la bouche mais surtout cette douce sensation d’avoir la langue toute lubrifiée. Je l’entends boire, se restaurée aussi. Je continue de lécher encore et encore. Je la sens se détendre de plus en plus. Puis tour à coup le son de sa voie : « Salut Sophie … » puis un blanc « oui, oui tout va très bien … » et elles continuent à échanger des anecdotes sur la séance.

Illustration Julie Delcourt

Elle lui explique qu’il reste vingt minutes et qu’elle aimerait bien que je la lèche et la masse jusqu’à la fin mais qu’elle risquait de s’endormir. Elle voulait alors que Sophie vienne l’alerter quand la séance serait terminée. Elle raccroche, moi je suis toujours en train de la lécher. Elle repousse ma tête et va se mettre sous la couette. Je la suis me glisse sous la couette et recommence à la lécher. Avec mes mains je la caresse sur toutes les zones du corps accessibles. Sous la couette il fait très chaud, on transpire énormément, le contact de nos deux corps est sensuel.

Illustration Sardax


J’ai vraiment envie de remonter et de venir lui faire l’amour comme ça dans la position la plus classique du missionnaire. Mais non ce n’est pas possible. Tout à coup, on frappe à la porte, c’est Sophie. Finalement elle ne s’était pas endormie et elle se redresse un peu « Vas-y rentre ! ». Elle commence à discuter de la séance, elle semble avoir bien apprécié les moments que nous venons de passer. Je n’arrive pas trop à distinguer ce qu’elles se disent ses cuisses collées à mes oreilles. J’ai l’impression que Géraldine joue la montre pour que je continue encore de la lécher. Après un bon moment, je comprends qu’il faut que je sorte. Je fais un dernier coup de langue de bas en haut en m’arrêtant longuement sur son clitoris. Puis je me glisse hors du lit. Sophie m’attrape par la main. Sans ouvrir les yeux je me tourne vers Géraldine et la remercie pour la séance, puis lui dit au revoir. 

 


Acte II Scène 2
Interlude 


Sophie m’accompagne dans l’autre chambre. Elle est toute rangée, le lit est fait. « Ça va ça, c’est bien passé à priori, c’est cool … » Elle semble soulagée. Elle me passe un peignoir, on s’assoit sur les fauteuils et elle me propose à boire. J’ai vraiment très soif, ça fait du bien. Et puis elle me dit : « Va te doucher, on descendra manger un morceau après et mettre l’autre peignoir qui est dans la salle de bain… je vais préparer… tu peux prendre ton temps. ». C’est bien noté, je reste un bon moment sous la douche. Je me sentais tout poisseux de ces derniers moments avec Géraldine, je me lave assez rapidement et reste là, sans bouger, avec l’eau qui coule sur tout mon corps, c’est vraiment très agréable. Une fois séché, j’enfile le peignoir et descends rejoindre Sophie. Arrivé en bas des escaliers, j’entends sa voix provenir d’une porte : « c’est par ici. ». J’entre dans la pièce, c’est la salle à manger, elle a préparé la table avec deux couverts. Les assiettes sont garnies d’une salade composée, laitue, maïs, tomate, gésiers et pignes de pin. Ça semble très bon. Il y a aussi un plat de pâtes à la carbonara « Des sucres lentes, tu vas en avoir besoin » me dit-elle en souriant. On s’assoit et on commence à manger. Elle me demande de lui raconter en détail mes deux premiers rendez-vous. Je partage avec elle chaque moment passé avec ces deux inconnues, ce que l’on a fait, ce que j’ai ressenti, ce que j’aurais aimé faire. Je sens bien que cette discussion m’excite autant que moi. Mon sexe est de nouveau en très grande forme, j’ai vu qu’elle l’avait remarqué. Mais elle reste là assise à côté de moi, me caressant de temps en temps le mollet avec son pied. Le plat terminé elle me dit : « Allez débarrasse moi ça vite, j’aie une surprise pour le dessert ». Je regroupe les assiettes, et emporte le tout à la cuisine. Quand je reviens, Sophie est assise sur la table à ma place, nue, les jambes écartées. Je m’assois devant elle. Elle a une petite bouteille de yogourt liquide dans la main, elle dépose quelques gouttes au dessus de son clitoris. Le liquide coule doucement vers son sexe. 


J’attends un peu pour que je sois obligé de lécher son sexe. Je plonge alors entre ses cuisses, donne quelques coups de langue pour récupérer son offrande, et en profite pour glisser ma langue dans son vagin, qui est très excité d’ailleurs et jouer avec son clitoris. Elle ajoute un peu plus de yogourt directement sur son clitoris. La sensation de froid chaud, entre le liquide et m langue, semble lui procurer beaucoup de sensations. Petit à petit elle vide la bouteille. Elle me demande d’aller en chercher une autre au frigo. Celle ci est plus fraîche encore. Après la seconde bouteille, elle me propose de s’installer sur le canapé du salon, elle se colle à moi, passe sa main sous le peignoir et caresse ma cuisse, sans s’approcher de mon sexe. Elle me pose encore plein de questions, comment j’ai réussi à faire un cunnilingus lors du premier rendez-vous, plus de détail sur ce que m’a obligé à faire Géraldine. Je pense qu’elle aimerait bien s’essayer au plaisir d’être dominatrice. 

Nous sommes interrompus pas la sonnerie de la porte d’entrée. Je regarde l’heure, il est quatorze heures, elle m’avait dit à quinze heure le troisième rendez-vous. « J’avais invité ma tante, qui nous prête la maison à venir prendre le café. Reste là je reviens. ». Elle sort du salon et revient quelques secondes plus tard avec deux femmes d’un certain âge. J’en ai profité pour rattacher mon peignoir. Sophie fait les présentations : « Alors, voilà mon gigolo !!! … Je lui ai déjà fait faire deux passes ce matin et il lui en reste encore trois cet aprèm … ». Les deux dames s’approchent de moi, la première me fait la bise et Sophie ajoute « ma tante ». Puis c’est au tour de la seconde « une de ses amies ». Je reste sans voix. « Café ? Thé ? … ok … trois café un thé » elle se retourne vers moi « Je te laisse avec ces dames, installe les au salon j’arrive. » me demande-t-elle en passant sa main sur mon sexe. Je me sens très mal à l’aise, nu en peignoir, le sexe en érection. Elles s’installent dans les grands fauteuils et je prends place en face dans le canapé. La tante de Sophie l’interroge : « on ne vous dérange pas au moins, il me semble que ton protégé soit bien en forme, non ? ». Elle répond : « Non, non, ne t’inquiète pas, il me racontait sa matinée. » en revenant avec trois tasses et un mug sur un plateau « je voulais qu’il soit tout excité à ton arrivée, rien que pour le mettre mal à l’aise. Mais je pensais que tu allais être seule, ce n’est pas grave au contraire plus on est de fous, plus on rit. ». Elle s’assoie à côté de moi, passe sa main sous le peignoir et caresse mon sexe qui commençait à perdre un peu de sa grandeur. « Alors il est pas trop chou mon petit gigolo ». Les deux dames se regardent et font un grand signe approbateur de la tête à Sophie. « Ok je lui explique alors ». Elle approche sa bouche de mon oreille, tout en continuant à me caresser, et chuchote : « Tu sais, il va falloir remercier ma tante et peut être son amie aussi pour la maison. Elle a été si gentille de nous la prêter, tu ne crois pas ? ». Machinalement je fais un oui de la tête en regardant les deux dames. « On fera ça demain, d’accord ? » je renouvelle le mouvement et de tête. « Je les ai invitées à manger demain midi. » je continu à faire oui de la tête. « Allez lèves-toi on va montrer tes atouts à ces dames ! ». Je me lève et elle détache mon peignoir et le fait tomber a mes pieds. Je ne me sens pas à ma place, je suis nu avec deux dames qui me reluquent de la tête au pied. « Allez, ne soit pas timide, va leur montrer comment ton sexe est bien dur ! » ajoute-t-elle en me poussant vers sa tante. Arrivé à côté de son fauteuil, elle attrape mon sexe à pleine main « c’est vrai, je ne te croyais pas l’autre jour, mais effectivement c’est impressionnant ! » et elle commence a le caresser en me regardant dans les yeux « j’ai hâte d’être a demain. Mais tu crois qu’il va être en forme avec tout ce que tu vas lui faire subir. ». Sophie se met à rire « il a intérêt ! ». La conversation revient sur des banalités, la tante de Sophie continue à me caresser mais sans me regarder. De mon côté, je l’observe, elle doit avoir plus de 60 ans, peut être 65, son visage est marqué par le temps, les cheveux gris. Elle semble avoir une belle poitrine, ses jambes croisées laissent découvrir un peu de sa cuisse, que je présent un peu charnue. Elle a un ventre un peu rond, mais pas trop gros. Sans s’arrêter elle interpelle son amie « Bernadette, tu veux profiter du jouer de Sophie ». 

Illustration Artiste Inconnue (Camille ????)

Elle valide, je m’approche d’elle. Elle pose sa main sur ma cuisse et remonte tout doucement, évite soigneusement mon sexe et redescend sur l’autre cuisse, puis remonte en passant sa main derrière pour me caresser les fesses. Ça m’excite énormément, j’accompagne ces mouvements. Elle finit par caresser enfin mon sexe. Je n’arrive pas à contrôler ma respiration, un petit bruit d’inspiration sort de ma bouche et je ferme les yeux au même moment. Elle fait trois quatre caresses très sensuelles, puis redescend sur ma cuisse et arrête. J’ouvre les yeux, elle me regarde toujours. Sans réfléchir je lui livre un « Merci ! ». Elle sourit et répond : « De rien ! ». Je n’arrive pas à décrocher mon regard de ses yeux bleus. Sophie me dit alors : « Tu veux peut être aller te reposer et te préparer pour cette aprèm, non ? ». Je me retourne vers elle, lui dit que c’est une très bonne idée, et ajoute que j’ai vraiment hâte de retrouver ces deux dames demain. Je ramasse mon peignoir et m’éclipse pour remonter dans la chambre. Sophie a fait le lit, tout est ranger. J’en profite pour me laver les dents et m’allonger un peu, tout en repensant à cet instant qui vient d’arriver. Il est évident que je ne serai qu’un vulgaire jouet pour la tante de Sophie, mais par contre je pense que je vais bien apprécier les moments que je passerai avec cette Bernadette. Je repense à ses caresses, son regard bienveillant, son attention, son sourire, j’ai vraiment envie de la revoir demain. Je m’assoupis, c’est Sophie qui me réveil doucement. Elle est là assise à côté du lit, une feuille blanche à la main. 

 


Acte II Scène 3
Douce initiation


C’est reparti pour le rituel de la petite fiche. Sophie reprend son air sérieux : « alors, pour ta troisième cliente » elle me regard avec un grand sourire « ce sera Christine, elle a un peu plus de 40 ans, sportive. Il faudra commencer pas messages et léchouilles : elle adore se faire lécher clitoris et sexe, vous allez bien vous entendre. Côté anulingus, elle n’a jamais fait, elle veut absolument que tu lui fasses découvrir. Et si tout se passe bien, elle aimerait bien aussi essayer la sodomie, alors il faut que tu sois doux, câlin, tendre pour qu’elle puisse apprécier à sa juste valeur cette pratique. Par contre, pas d’autres pénétration, je ne sais pas pourquoi. Sinon elle n’est pas trop entreprenante, ce sera à toi de faire ce qu’il faut. ». Elle me passe mes affaires, et me demande de me rhabiller. « Allez viens on va aller l’attendre en bas. ».  On descend dans le salon, la tante de Sophie et son amie sont parties, on s’assoit dans le canapé. Sophie me reparle encore du moment passé avec Géraldine, elle veut connaître tous les détails, surtout ce que j’ai trouvé le plus difficile à accepter. Elle essaye de savoir si j’aurais pu aller plus loin, jusqu’à quel point je pourrais me soumettre. Je commence à me dire que ce soir avec Sophie risque d’être éprouvant. Je lui dis clairement « après avoir fait le gigolo toute la journée, vendu à tes copines sans rien pouvoir dire, m’être fait humilier, ça ne devrait pas me déranger de devenir ton soumis. Aujourd’hui tu es mon mac, tu demandes, je fais, un point c’est tout, je n’ai pas le choix. » et je rajoute « si tu veux faire ressortir ton côté Dominatrice ce soir, définissons un safe code, si je le dis une fois c’est que tu commences à aller trop loin, mais tu peux m’obliger à continuer ce que je faisais, deux fois on est obligé d’en discuter avant que tu me demande de recommencer et trois fois on arrêt cette pratique pour passer à autre chose. Comme ça tu connaîtras mes limites ! ». 

Illustration Sardax

Elle m’attrape l’entrejambe de manière assez virulente. « Je ne pensai pas que tu serais partant, tu vas peut-être le regretter. Il y a tant de choses que j’aimerais faire. ». Cette phrase déclenche un long moment de silence, elle est pensive et moi je commence déjà à regretter mes paroles. La sonnette retentit, il faut penser à autre chose, concentrons-nous sur le présent. Sophie est aller ouvrir à Christine, je les attends debout dans le salon. Elles vont entrer dans le salon, l’angoisse du premier regard, comment est-elle ? Sophie disait sportive, j’espère qu’elle a quand même quelques belles rondeurs. Les voilà, je la découvre, elle est assez grande, plutôt mince, les cheveux courts, châtains, les yeux clairs, peut être gris, une peau d’un joli pâle avec quelques tâches de rousseurs. Elle est habillée plutôt jeune mais class quand même, des converses avec une élégante robe crème. Elle m’intimide. Je m’approche doucement pour lui faire la bise, elle ne me lâche pas du regard. « Bonjour, Christine, je te trouve ravissante… très contant de pouvoir faire ta connaissance. ». Elle me répond « Oui c’est pareil pour moi, Sophie m’a énormément parler de toi. » en déposant sur la table basse la bouteille de champagne qu’elle avait apportée. J’ai beau chercher, pas une seule rondeur à l’horizon, je suis certain qu’elle l’a choisi pour me tester. Pendant que Sophie nous sert le champagne Christine commence à expliquer ce qu’elle attend de moi. Elle a une voix douce et envoûtante. On commence à échanger autour de l’anulingus, elle aurait aimé qu’un de ses amants lui fasse naturellement mais ce n’est jamais arrivé. 
Illustration Amourfusion

Et bien sûr elle n’avait jamais osé ne serait-ce qu’en parler. Elle a besoin que je lui confirme que ça ne me dérange pas. La seule chose qui pourrait me déranger ce serait une mauvaise hygiène, mais ça, ça peut facilement se résoudre. Elle me fait comprendre qu’elle sort de la douche et qu’elle a aussi fait le nécessaire pour que la sodomie se passe bien. Je comprends très vite qu’elle stresse de refuser au dernier moment, à cause de la douleur, août bien parce qu’elle n’éprouve pas de plaisir... J’essaie de la rassurer, je lui décris ma vision du plaisir féminin, et que je saurai être attentif au moindre de ses mouvements pour ne surtout pas la bloquer. Le dialogue est maintenant fluide, on est tous les deux sur la même longueur d’onde, son plaisir. Nous nous sommes naturellement rapprochés nos corps se frôlent, se touchent même de temps en temps. Sophie ne dit pas grand-chose, elle se lève pour aller dans la cuisine, et revient avec son sac à main « J’ai une ou deux courses à faire avec Géraldine, je pense que vous n’avez plus besoin de moi. Vous pouvez montrer le champagne. ». Elle fait une bise à Christine en lui chuchotant « C’est une perle, il sait s’y prendre avec délicatesse, laisse-toi emporter. ». Nous continuons de discuter. Le premier verre terminé, je lui propose de s’installer plus au calme dans la chambre. J’attrape le saut à champagne et les flûtes dans une main et prend la sienne avec mon autre main. Je la guide ensuite vers la chambre. Elle observe, elle semble s’y sentir bien. Je dépose le champagne sur la table basse, ressert deux demi-verres et lui tends le sien. « La chambre te plaît ? ». Elle me répond de suite « Oui oui beaucoup ! ». Je me rapproche doucement, et je l’embrasse d’un petit baiser tout en douceur sur sa bouche. « A notre rencontre » lui dis-je. Elle me répond par un baiser bien plus long et sensuel que le mien, puis me regarde. J’ajoute « A ton plaisir ». Et elle m’embrasse de nouveau et m’interroge « Vraiment ? ». Je lui réponds « Vraiment, j’adore faire des massages, j’adore passer de longs moments la tête entre vos cuisses. J’ai toujours adoré ça. J’ai vraiment hâte de pouvoir te faire découvrir de nouvelles sensations. ». Elle m’embrasse de nouveau : « je suis tellement excitée », me dit-elle en accompagnant ma main libre sous sa robe. Sa culotte est toute mouillée, j’en profite pour la caresser un peu. « Désolée, je peux être assez fontaine quand je suis très excitée, si tu veux je pourrais aller … » je l’embrasse et termine sa phrase « oui tu pourrais me demander de nettoyer un peu tout ça, mais laisse-moi te le proposer avant, ça me ferait tellement plaisir »

Illustration Tasty Art Gurl

Je m’imagine déjà son sexe tout dégoulinant de cyprine. Je dépose ma flûte et commence à descendre en dégrafant chaque bouton de sa robe, pour glisser un petit bisou sur la partie de peau que je découvre. Elle répond « ce n’était pas ça, … mais oui tu peux, le plaisir devrait être partagé. ». Sa culotte est de plus en plus humide. J’utilise alors mes deux mains pour la faire glisser à ses pieds. Je détache les boutons du bas et je commence à distinguer quelques poils entre les plis de sa robe. J’écarte les deux morceaux de tissu et dépose un long baiser sur son mon de Vénus tout juste garni comme j’aime. Je lui attrape une de ses chevilles, lui enlève sa chaussure et guide son pied jusque sur la table basse, laissant aussi chaussure culotte par terre. Je peux maintenant prendre le temps de lécher et avaler cet excès d’excitation qui n’attend que moi. Après trois ou quatre coups de langue, je relève la tête : « j’adore… tu es délicieuse… ça risque du durer un petit moment, n’hésite pas à reprendre un peu plus de champagne. ». Je replonge entre ses cuisses ….

Illustration Nudegrafia - Tarlei Melo

Je la sens bouger un peu, elle se resserre certainement, puis elle me pose une main derrière la tête et en profite pour me caresser les cheveux. Mes mains baladeuses s’occupent de ses mollets, de ces cuisses, de ses fesses, de son ventre, de son dos. « Hmmm, c’est trop bon … » je continue alors « Hmmm… Hmmm…  … » elle ne dit plus rien. Je distingue un « Tu n’a pas soif ? » puis un blanc « Hmmm… Hmmm… tu veux un peu de champagne. ». Et là, de quel champagne elle parle, Sophie ne m’avait pas parler d’uro. Vu notre discussion je ne pense pas que ce soit ça. J’oriente quand même ma réponse « Pourquoi pas, une petite boisson fraîche, je ne suis pas contre ». Elle fait alors couler un peu de champagne sur mon front, qui glisse tout doucement jusqu’à mes lèvres. « J’ai toujours rêvé de faire ça… Hmmm… c’est trop bon ». Je ne vais pas lui dire mais pour moi aussi c’est une première. Quelques gouttes sont retenues dans ses poils, je m’attache à bien tout nettoyer. Elle semble apprécier, elle renouvelle l’opération pas mal de fois. Son sexe fournit toujours autant de lubrifiant, j’adore cette sensation d’avoir la bouche entièrement remplie de son excitation. 
 
Je lui propose quand même de nous allonger sur le lit, elle sera plus à l’aise. Elle valide la proposition et me fait comprendre que je peux aller un peu plus bas. Je lui dégrafe les quelques boutons de sa robe qui restaient attachés, la fait glisser sur tout son corps et l’allonge sur le lit. Elle n’a pas de soutien-gorge et laisse découvrir des petits seins pointant leur excitation eux aussi. J’enlève rapidement ma chemise et viens la rejoindre. Je lui remonte les jambes, profite de la position pour lui embrasser le ventre et les cuisses pour retourner doucement au point initial, son clitoris. Je sais que son anus est maintenant accessible mais je vais faire monter l’excitation en l’évitant plus ou moins volontairement. Je vais faire traîner un peu les choses. J’attrape la bouteille de champagne, je verse délicatement quelques goûtes sur son clitoris et viens le lécher immédiatement. 

Illustration Art Of Desires

Je guète sa réaction, cette sensation de froid chaud peut être aussi bien extrêmement excitant que dérangeant. Mais vu sa réaction on est plutôt dans le premier cas. Je prends le temps de bien le réchauffer, puis de venir lécher les quelques gouttes qui ont coulées sur ses cuisses et son vagin. Je renouvelle l’expérience et cette fois-ci le nettoyage descend un peu plus bas. Pareil pour la troisième puis encore plus bas pour la quatrième. Mes coups de langues descendent maintenant jusqu’au périnée. Elle est très excitée, accompagne mes nettoyages avec son corps, retient ses gémissements. Je pense que c’est le bon moment. Je verse le champagne, m’occupe un moment du clitoris puis descends, descends, descends, pour venir nettoyer les quelques gouttes qui sont arrivées sur son anus. Je lèche de bas en haut la langue bien souple. Elle continue à bouger son corps et à étouffer ses gémissements. Je remontre un peu sur le vagin puis redescend, reviens réchauffer le clitoris puis reviens inlassablement plus bas. Son sexe n’arrête pas de fournir, elle ne mentait pas quand elle disait qu’elle était fontaine. Je joue de plus en plus de son anus. Comme pour valider cette initiative elle a posé sa main sur ma tête pour qu’elle reste en place. 


Illustration Alpha Channeling


Je m’occupe longuement de mon nouvel ami, il se décontracte petit à petit. J’arrête de lui caresser les cuisses et les fesses pour venir le stimuler un peu avec autre chose que ma langue. Son sexe produisant toujours autant de lubrifiant je m’en sert pour enduire mes doigts, pour commencer délicatement à le caresser. J’enchaîne coups de langue et caresses. Elle est tellement détendue que même sur des caresses main à plat j’ai un doigt qui s’enfonce sans résistance. J’introduis alors une phalange de mon majeur et je continue à masser autour avec les autres doigts, accompagnant tout ça avec quelques coups de langues dans son vagin dans le but de récupérer de sa cyprine pour la déverser sous ma main. La lubrification est parfaite, aussi bien à l’extérieur qu’à l’intérieur. Sans enfoncer plus mon doigt, je fais tout d’abord des petits mouvements d’avant et arrière, ensuite circulaire, puis j’augmente un peu l’amplitude, puis un peu plus, puis un peu plus encore … Avec des mouvements plutôt acrobatiques, j’attrape un préservatif et le lubrifiant tout en continuant les caresses. Une fois prêt, préservatif bien lubrifié, je viens poser mon sexe sur ma main et commence une double stimulation sensuelle, mes doigts et mon sexe. Pour le moment je ne laisse que mes doigts la pénétrer. Je préfère ne pas la regarder pour le pas engendrer la moindre gêne et je me concentre sur mes actes. Arrive le moment où elle est fin prête, mon gland s’introduit tout seul sans effort. Elle pousse un petit cri, je ne bouge plus, puis recommence les caresses, le bout de mon sexe encore en elle. Je la sens se contracter puis se relâcher. Je fais un tout petit mouvement de reins vers l’arrière, sans sortir mon sexe, puis après une petite pause vers l’avant. De nouveau je sens qu’elle se contracte pour se détend. Elle maîtrise de plus en plus les contractions et mes mouvements deviennent de plus en plus rapprochés, sans forcément aller plus loin. Je lui propose de se retourner, ce qu’elle s’empresse de faire. Elle se retrouve donc à quatre pâtés devant moi. Je préfère recommencer à zéro dans cette position, je viens dans un premier temps déposer ma langue sur son anus. Je lèche doucement pour qu’elle se détende de nouveau. Elle semble vraiment apprécier la situation. Je le sent de plus en plus à l’aise.

Illustration 
 
je rajoute plein de lubrifiant, commence avec mes doigts, ajoute des caresses de mon sexe, puis de nouveau plein de lubrifiant et de nouveau juste le bout du gland. 
 
Tout en restant immobile, je lui montre, avec mes mains posées sur ses hanches, qu’elle peut gérer elle-même la pénétration en reculant ses fesses. Elle vient par petites avancées successives se rapprocher de moi, jusqu’à engloutir totalement mon sexe dans son anus. Les déplacements fébriles du départ font maintenant place à des mouvements plus amples et réguliers. Je me mets à accompagner ses mouvements avec des petits coups de reins. De son côté elle ralenti, comme si elle me passait le relais. J’enchaîne pour garder sensiblement le même rythme et la même amplitude qu’elle avait imposée au départ. Elle ne bouge plus, elle a posé sa tête sur l’oreiller. Elle souffle, elle gémit, de plus en plus fort, à chaque coup de rein. Je glisse alors ma main sur son clitoris tout lubrifié. J’entame des caresses tout en douceur pour le réveiller. 

Illustration Samarel

Pas besoin d’attendre trop longtemps, j’accélère petit à petit mes caresses pour me caler sur la fréquence de mes coups de reins. Très rapidement je la sens onduler, accompagner mes mouvements et respirer de plus en plus fort. Elle ne cesse de répéter « oui … oui … encore » la tête plongée dans l’oreiller, c’est presque imperceptible. Puis tout à coup un grand « oh oui » qui lui échappe malgré son désir de retenue. Je me retire doucement mais continu à la masturber, elle donne encore quelques coups de hanches puis s’effondre sur le lit, allongée sur le flan. Je prends alors un peu de temps pour lui embrasser les cuisses, les fesses, les hanches, le dos, les bras. Puis je m’allonge derrière elle en la prenant dans mes bras et distribuant encore quelques caresses sur tout son corps avec ma main libre. 

 

Je la laisse récupérer un petit moment, puis je lui propose de partager un bain tous les deux. Elle trouve que c’est une très bonne idée. Je me lève, mets l’eau à couler, puis reviens me coucher à ces côtés. Sans parler, je me remets à la caresser, elle se blottit contre moi et se laisse faire. Le bain semble bientôt prêt, je me lève, arrête l’eau, teste la température, tout semble bien. Je reviens à ses côtés et lui propose de profiter un petit moment de la salle de bain et des toilettes le temps que j’aille chercher à boire. Elle se glisse dans la salle de bain et me commande un jus de fruit. J’enfile mon peignoir et descends chercher les boisons. Sophie n’est toujours pas rentrée. Je remonte la bouteille de jus de fruits avec deux verres. La porte de la salle de bain est fermée, je frappe, elle m’invite à entrer. 


Illustration I’m Line

Elle est déjà assise dans le bain. Je lui sers à boire et me faufile derrière elle. Elle s’adosse sur ma poitrine. Je passe mon bras au-dessus de son épaule, ce qui me donne la possibilité de la caresser jusqu’aux cuisses. On profite de cet instant de repos un bon moment. Je continu avec des caresses de plus en plus ciblées sur son entrejambe. Elle écarte même un peu plus les cuisses pour me donner plus de liberté de mouvement. Je lui glisse dans l’oreille « Et si nous retournions au lit ? » lui demande ai-je. « Oh oui je n’osais pas te le demander, j’aime beaucoup tes cunnis. » me répond-elle. On se sèche rapidement, elle retourne s’allonger sur le lit. Je m’accroupis devant le lit et commence une série de baisers sur ses pieds pour remonter jusqu’à son sexe. J’accompagne tout ça de caresses. Pour faire monter l’excitation, je prends mon temps, n’hésite pas à redescendre un peu, passer d’une jambe à l’autre, embrasser l'extérieur, le dessus, l’intérieur … Arrivé proche du sexe, je redescends volontairement assez loin. Elle ne semble plus pouvoir attendre, elle a posé ses doigts sur son clitoris et commence à le caresser. 


Illustration Chiaraliki

Elle descend ses doigts pour récupérer un peu de lubrifiant et caresse de nouveau. Je reviens doucement, à quelques petits centimètres de ses doigts et elle commence à retirer sa main. Je la rattrape et accompagne un peu pour qu’elle reprenne ses mouvements. Je viens glisser ma langue entre ses doigts. Elle les écarte un peu pour me laisser accéder au clitoris. 

 

J’enchaîne un jeu qui mêle masturbation, de douces caresses de ma langue sur son clitoris, et des moments plus fougueux ou non nez et ma langue tentent de stimuler toutes les zones accessibles de sa vulve et son vagin, externes comme internes. Mais je sens bien qu’elle n’a pas envie que je retourne taquiner son anus. J’ai déjà plein de choses à m’occuper ici. J’entends de nouveau, cette respiration qui trahit un peu le plaisir qu’elle ressent. Elle s’abandonne petit à petit, caresse de moins en moins. 


Illustration Cheri

Au bout d’un moment sa main se retire, mais moi je continue encore et encore, jusqu’à la sentir prendre son plaisir. Je ne stimule plus son clitoris mais vient lécher lentement son sexe, comme pour le nettoyer. Elle ne bouge plus.. Je sens sa main se poser sur mes cheveux et me caresse doucement, comme pour me dire merci. « Hmmmm … j’aime bien comme ça … Hmmmm … je pourrais rester des heures comme ça. ». Je pense que je vais finir la séance comme ça. J’essaie de voir l’heure mais impossible. Son téléphone vibre, elle retire la main de mais cheveux et l’attrape sur la table de nuit. Je l’entends tapoter, certainement des textos. Je relève un peu la tête mais de suite elle me dit « oh non t’arrête pas c’est trop bon ». Je reviens entre ses jambes. 

Illustration MARE

Ça doit faire dix minutes ou un quart d’heure que l’on est comme ça. Elle n’arrête pas d’échanger des messages, de temps en temps je l’entends sourire. Je me demande bien ce qu’elle raconte. J’ai vraiment envie que ça s’arrête mais je suis obligé de continuer. Son sexe ne produit plus de cyprine, ça ne semble plus sexuel. Je me demande combien de temps elle va m’utiliser comme ça. Elle vient reposer ma main sur ma tête et me dit : « Bon Sophie nous accorde un peu de rab… ». A ce moment-là je déteste Sophie. Elle guide ma tête vers son clitoris, c’est reparti. Je ne sais pas si je vais y arriver. Je l’entends parler « Oui salut Sophie … merci … oui oui tout se passe bien… oui, oui… oui … bin là ça fait vingt minutes qu’il me nettoie tout en délicatesse… oui … et vu qu’on a un peu plus de temps je l’ai remis sur mon clito, on va essayer un troisième orgasme, mais j’y crois pas trop, ça m’est jamais arrivé … oui… ok … … ok … compte sur moi … à plus ». Pendant ce temps-là moi je continue, c’est sûre je ne vais pas tenir trente minutes de plus. Elle raccroche : « Sophie me dit que je peux encore te garder une demi-heure. Alors on peut continuer ! » j’ai beau lui lécher le clitoris, je sexe, la caresser, là doigter un peu, pas de troisième.  Elle est pourtant très excitée son côté fontaine est au rendez-vous, mais pas d’orgasme. Elle semblait s’en douter. Elle regarde son téléphone puis me regarde, et dit « et puis merde ». Elle attrape la boîte de préservatifs, m’en donne un, je l’enfile et elle me demande de m’allonger. Elle me ferme les paupières avec ses doigts, se met à califourchon sur moi, guide mon sexe dans le sien et c’est parti. Elle fait tout, je ne bouge pas. En moins de cinq minutes, elle était arrivée à ses fins. Elle s’avachie sur moi quelques instants, puis roule sur le côté. J’ouvre les yeux et me met sur le côté pour la regarder. Elle pose sa main sur ma joue et dirige ma tête vers son sexe. Encore ! Je ne vais pas m’en sortir ! Alors c’est reparti pour un bon nettoyage. Je la lèche encore et encore. Elle reprend son téléphone. « Bon il faut que je te dise, Sophie est toujours avec Géraldine elles sont en train de préparer pour ce soir. Ta future cliente va bientôt arriver ! ». Moi je continu de la lécher elle me regarde « J’adore quand tu le lèches comme ça. » elle me caresse les cheveux. « Tu sais c’est terminé depuis dix minutes déjà, il faut que tu aille te préparer ». Oh super c’est fini, mais je ne peux pas arrêter comme ça là, ça ne se fait pas. Je la regarde « Tu me laisse encore deux minutes ? Je ne vais pas te laisser dans cet état ! ». Elle me sourit et répond « Bien sûr avec plaisir ». Je commence le décompte dans ma tête 1 … 2 …. En fait je m’aperçois que ça m’excite beaucoup de lui accorder ces deux minutes, le plaisir de lécher est revenu et je suis presque triste d’arriver à 120 secondes. Elle reçoit un nouveau texto, elle me regarde : « Dépêche-toi elle t’attend dans l’autre chambre ! ». J’attrape un peignoir, me débarbouille vite fait le visage et l’abandonne nue sur le lit, épuisée. 


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