Offrir du plaisir à une inconnue m’a toujours fait fantasmer. Tout faire pour qu’elle jouisse, sans forcément attendre quelque chose en retour. Mais jamais il ne m’était venu à l’esprit de faire ça pour de l’argent. C’était sans compter sur Sophie… Elle m’a organisé une journée bien chargée et surtout pleine de surprises. Je viens d’en finir avec ma troisième cliente. Mes sentiments sont mitigés, je me sens tantôt de faire plaisir, de faire jouir, tantôt humilié par la situation. Après une première séance plutôt sensuelle et vraiment agréable, j’ai très vite déchanté et compris ce qu’on pouvait ressentir en tant qu’objet sexuel.
Il me voici, maintenant, la tête entre les cuisses de ma troisième cliente. Après deux orgasmes, et elle a voulu un long nettoyage de son intimité. Cela fait plus d’une demi-heure que ma langue ça faire à cette tâche. Quant à elle, tranquillement installé, elle est accaparé par son téléphone, certainement en pleine de discussion avec Sophie. Le comble, c’est qu’elle a même réussi à grappiller une demi-heure de plus. Ma langue peut enfin avoir quelques minutes de repos, le temps que madame prenne son plaisir sur moi en cowgirl. Mais comme elle est très excité, ce petit moment de répit s’arrête trop rapidement. J’aime voici rappeler pour reprendre le nettoyage.
Je redonne le téléphone à sa propriétaire. Elle me dit « Bonjour, moi c’est Agathe. J’ai payé pour que tu me baises sous la douche, ça comprend cunni autant de fois que j’en ai envie, par devant mais aussi par derrière. Maintenant je veux bien un autre verre ! ». J’attrape la bouteille et la sert « Bonjour, vraiment désolé pour le retard, je suis à votre entière disposition pendant l’heure de demi qui arrive. Que puis-je faire pour vous ? ». Elle me regarde et sourit « c’est arrangé, j’ai du champagne gratuit, une demi-heure en plus et aucune limite : je peux faire de toi ce que je veux… d’ailleurs on va voir ça, suit moi ! ». Elle se dirige dans la salle de bain, enlève son legging et sa culotte, s’assoie sur les toilettes, les jambes écartées et me demande de me mettre à genoux devant. J’ai une belle vue sur son sexe plutôt bien fourni, elle ne semble pas être le genre de femme à s’entretenir à ce niveau-là. Elle commence à faire pipi, s’arrête, attend un petit moment, puis reprend, et s’arrête de nouveau.
Elle enlève le haute et m’invite à la suivre dans la douche. Je retire mon peignoir et entre à mon tour. Elle attrape mon sexe déjà bien raide pour m’attirer vers elle. Maintenant collés l’un à l’autre, l’eau ruisselle sur nos corps nus. Elle attrape le gel douche, en verse un peu dans ma main, se retourne et colle ses fesses contre mon sexe. Elle attrape ma main et la plaque contre ses seins. Je commence à la caresser, c’est un moment assez sensuel avec le savon qui fait glisser ma main sur ses seins. Mais l’eau qui coule sur son torse rince trop rapidement ce précieux compagnon de jeu. Je reprends du gel douche, nous fait avancer un peut et reprends les caresses des seins cette fois ci avec les deux mains. Elle lève alors les deux bras, en pose un contre la vitre et vient mettre le second sur ma nuque. D’une main je continue à caresses ses seins et de son ventre. Avec l’autre je viens caresser ses aisselles. Elle valide mon initiative avec un « oui, c’est ça ! ». Elle pose son autre main sur la vitre, se penche vers l’avant et cambre un peu le dos. Je me retrouve naturellement désolé d’elle, avec toute la partie allant de sa nuque à ses fesses accessible. Je me réapprovisionne en gel douche et me lance à l’attaque de ce nouveau territoire, en partant de son coup, en passant par ses épaules, ses aisselles, ses reins. Pendant ce temps, elle fait rouler ses fesses sur mon sexe, c’est vraiment très excitant. Je fais aussi des petits mouvements de bassin pour lui montrer que, moi aussi, j’apprécie la situation. De temps en temps, je me décolle un peu pour pouvoir caresser ses fesses et le haut de ses cuisses. Après quelques longues minutes comme ça, elle me suggère de descendre un peu plus. Je me retrouve rapidement à genoux derrière elle, ses fesses en face de mon visage, en train de lui laver des cuisses aux pieds.
Je me retourne glisse ma tête entre ses jambes et viens déposer ma bouche sur son clitoris. Elle se décale pour se remette sous la douche, je sens l’eau glisser de nouveau sur mon visage et mon corps. Elle écarte un peu plus les cuisses, relève un peu une de ses jambes, m’attrape la tête et la sert fort contre elle. Elle donne des petits coups de bassins d’avant en arrière, pour que ma langue vienne s’engouffrer sous le capuchon de son clitoris. J’en profite pour caressez ses fesses et ses cuisses avec mes mains. De temps en temps, elle avance un peu plus ses fesses me laissant accès à l’entrée de son vagin. Je plonge alors ma langue le plus loin que je peux, fais des mouvements circulaires pour lécher tout ce que je peux atteindre. C’est elle qui décide ce que je dois faire, tantôt son clitoris, tantôt son sexe, mais aussi le temps que je dois y passer : je me laisse guider. Son sexe est très excité, c’est vraiment très agréable de venir y perdre ma langue, encore et encore.
Je suis rapidement prêt, viens coller mon corps contre ses fesses. Je glisse alors ma main devant pour pouvoir mieux guider mon sexe. Son vagin est tout lubrifié, malgré l’eau mon sexe la pénètre sans difficulté. Je fais attention de ne pas aller trop vite quand même, je fais des aller-retours uniquement avec mon gland. Mais elle s’exclame « T’attends quoi, un carton d’invitation, allez ! ». J’enfonce donc tout mon sexe en elle, sans trop me précipiter. Elle valide « Ouiiii… c’est ça ! ».
Soudain, un spasme me fait me coller mon bassin contre elle. « C’est même plutôt un grand oui, mon petit coquin, mais tu n’oses pas le dire, c’est ça ? ». Je fais un grand non de la tête mais elle ne me regarde pas. Elle avance ses fesses libérant ainsi mon sexe. Elle se retourne, me retire le préservatif et commence à me masturber. Je continue à faire non de la tête. Elle pose un doigt sur ma bouche « chuuuut, ferme les yeux » et continue à me caresser. Elle a pris du savon, ses doigts glissent tout le long de mon sexe et s’attardent de temps en temps sur la partie supérieure très érogène. Elle positionne ensuite le jet de la douche juste à la base de mon gland, la partie la plus sensible. Elle reprend les caresses. C’est vraiment très bon. Après m’avoir fait un petit bisou sur la bouche, elle me murmure à l’oreille « Pas bouger ». Je la sens s’éloigner de moi mais elle continue de me masturber tout en douceur. Quelque chose de doux et chaud vient de se poser sur mon sexe, sa langue certainement. Un second contact, puis un troisième, j’en suis certain c’est sa langue. C’est très excitant mais il faut qu’on arrête ça rapidement « Je pense qu’il … ». Mais elle me coupe tout de suite « chuuut… j’ai dit chuuut ! » et je sens mon sexe s’enfoncer dans sa bouche. Il faut vraiment arrêter ça. Je fais un petit mouvement du basin vers l’arrière mais elle me frappe violemment les fesses avec sa main « Pas bouger ! ».
- Ça va, qu’est ce qui se passe ?
- Je n’ai pas assuré, je me suis mis dans une situation qui m’oblige à offrir une séance à Agathe, chez elle.
- Offrir, tu veux dire gratuite, mais pourquoi, t’es nul! On pourrait pas lui rembourser cette séance.
- Attend je vais voir avec elle. Agathe, Sophie vous propose de vous rembourser cette séance est-ce que ça pourrait vous convenir?
Cette annonce lui fait ni chaux ni froid elle continue, sans marquer la moindre pose. Je reprend la conversation avec Sophie.
Je comprends très vite les règles du jeu, quand sa main me plaque contre ses fesses il faut que j’introduise ma langue en elle, et si elle me caresse les cheveux je lèche l’extérieur. Me voici de nouveau son joujou. Ça n’en fini pas, je la pénètre et la lèche encore et encore. Elle fini par s’allonger sur le ventre, et relève un genou sur le côté. En restant derrière elle l’accès a son anus est difficile, je me glisse à ses côtés et viens reposer ma langue à l’endroit désiré. Dans cette position inversée, mon nez est tout proche de l’entrée de son vagin. Je préfère cette position. De nouveau, je sens sa main se poser sur ma tête. C’est reparti…
Je sens aussi son autre main qui caresse son clitoris. Je comprends mieux ce changement de position. J’ai de moins en moins de répit, elle semble rentrée dans une phase de recherche d’orgasme. Je m’exécute, enchaînant pénétration sur pénétration sans faire de pose, même si sa main sur ma tête est de moins en mais active. Par contre, l’aire main elle devient de plus en plus appliquée, de petites caresses elle est passée à une active masturbation. L’orgasme ne tarde pas à venir et bien heureusement pour moi, les crampes commençant à pointer le bout de leur nez. Elle fait entendre un grand « Ooooohhhh… Oouuiiiiiiiiiiiiiiii… Oouuiiiiiiiiiiiiiiii … Oouuiiiiiiiiiiiiiiii !!!! », puis s’affale sur le ventre, toute essoufflée. Je repasse derrière elle, entre ses jambes, et recommence à lui lécher l’anus, comme si je devais le nettoyer. Son sexe est tout dégoulinant, mais j’y ai difficilement accès. Elle ne dit rien, elle semble endormie.
Après un long moment à me demander si elle dort ou pas, je m’arrête de la lécher tout en gardant mon visage entre ses fesse. Elle prend une grande inspiration puis soupire longuement et me dit : « Je me demandais quand tu allais arrêter… j’ai même failli m’endormir… Sinon, merci pour tout à l’heure, c’était très bon , oui, très très bon, il faudra qu’on recommence! ». Puis elle se retourne et ajoute « Je pourrais abuser encore un peu, je pense que lui aussi aurait besoin d’un petit nettoyage, tu ne crois pas? ». Je plonge immédiatement la tête entre ses jambes et je viens explorer chaque partie de son intimité pour qu’elle soit la plus propre possible. Mais je sens que mes coups de langue ont plutôt tendance à l’exiger qu’à la nettoyer. Mais je continu.
Après quelques minute, elle semble bien excitée, elle me fait lever la tête pour m’expliquer qu’il ne restait plus beaucoup de temps et qu’elle aimerait bien finir sous la douche. Nous voici de nouveau dans la salle de bain, elle debout et moi accroupi en train de lui lécher le sexe et le clitoris. Rapidement sa main vient bloquer mes mouvements et stabilise ma tête sur son clitoris. Je m’occupe de lui en alternant des coups de langue à plat détendue et des petits mouvements du bout bien contracté. Je sens a nouveau une sensation de liquide chaud sur ma gorge et mon torse, elle s’est de nouveau lâchée. Je continue comme si de rien n’était. Et là je l’entends gémir, se contracter, donner des coups de bassin tout en maintenant ma tête, elle se sert de ma langue pour jouir.
Une fois ce bon moment passé, elle se détend et pousse ma tête vers son vagin, que je m’empresse de lécher. Elle se recule un peu et je sens de nouveau un jet d’urine mais cette fois-ci sur mon visage. Quand j’ouvre les yeux, elle me regarde et un grand sourire apparaît sur son visage. Je ne suis que sa chose, son jouet, elle me manipule depuis le début. Je ne sais pas si je vais arriver à tenir jeudi, une nuit entière à son service. Elle se rince, à grandes eaux, le sexe avec le pommeau de douche puis arrête l’eau. Elle s’accroupit aussi, m’attrape la tête avec ses deux mains, m’embrasse en faisant pénétrer profondément sa langue dans ma bouche, puis me regarde : « C’est fini … je te laisse la douche pour te préparer pour ton prochain rendez-vous, tu as cinq minutes à peine. ». Elle se redresse, colle une dernière fois son sexe contre ma bouche et ajoute « À jeudi! » puis sort de la douche et enfile mon peignoir. « Je t’emprunte ça, tu pourras sortir tout nu, n’est-ce pas? » et sans attendre de réponse elle sort de la salle de bain.
Je me lave rapidement, me rince et m’essuie. Je suis encore tout excité. Je sors de la salle de bain nu, elle est assise sur le fauteuil, un verre de champagne à la main, le peignoir mal attaché laissant apparaître une partie de son sexe et ses jambes. Je m’approche d’elle et viens déposer un baiser sur ces quelques poils qui dépassent, me redresse les mains devant mon sexe en érection et lui dit « Vous semblez toujours obtenir ce que vous voulez, non ? Dans tous les cas, jeudi soir, je serai tout à vous, comme convenu avec Sophie. ». Elle me regarde de bas en haut et me dit : « Tu as intérêt à être en forme! Allez va-t-en! ». Je me dirige vers la porte, l’ouvre et sors sans la regarder.
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